Comment devenir travailleur indépendant ?

Le travail indépendant est une forme de travail qui se caractérise par l’absence de subordination à un employeur. Il n’est pas toujours facile de faire la distinction entre les deux formes et il peut arriver que certains types d’activités des employés soient passés pour autonomes alors que ce n’est pas le cas. La raison en est simple : l’emploi oblige l’employeur à fournir toute une série de protections, y compris économiques. Devenir travailleur indépendant vous donne une certaine autonomie et une tranquillité d’esprit. Pour y arriver, il est important que vous maîtrisiez les rouages du métier de travailleur indépendant.

Le portage salarial, une solution pratique et rentable

Les travailleurs qui décident de devenir indépendants se lancent de plus en plus vers le portage salarial pour ne pas subir les contraintes liées au statut d’indépendant. Le portage salarial peut être considéré comme un emploi hybride qui concilie les avantages du travail indépendant avec ceux du travail de salarié. Ce statut vous donne la possibilité de développer votre activité indépendante, mais en conservant les avantages en termes de sécurité sociale dont un salarié bénéficie.

Si vous désirez savoir comment ce statut fonctionne et la rémunération que vous pouvez avoir selon l’activité que vous menez, vous pouvez utiliser un certain nombre d’outils. En effet, vous avez la possibilité de faire une simulation de portage salarial pour avoir une estimation fiable de votre possible rémunération. Il est donc possible de calculer votre revenu ou le taux journalier moyen.

Grâce au portage salarial, vous n’aurez pas besoin de créer une entreprise ou alors de vous enregistrer comme un travailleur indépendant. En effet, vous bénéficiez de la protection sociale au même titre qu’un salarié et pouvez rapidement trouver des missions. Vous bénéficiez également d’un accompagnement pour vous aider à valoriser votre image. Le portage salarial vous aide à gérer de façon autonome vos clients et d’arranger votre emploi du temps afin qu’il soit en phase avec votre vie personnelle.

Malgré ses nombreux atouts, le portage salarial a aussi des points négatifs qu’il importe de soulever. En effet, il existe des frais de gestion d’environ 10 % de votre chiffre d’affaires et les cotisations sociales plus élevées. La société de portage dispose enfin d’un regard sur vos missions et certains secteurs d’activité ne peuvent pas bénéficier du portage salarial.

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La micro-entreprise, le statut d’indépendant par excellence

La micro-entreprise est un statut particulier qui réunit le régime fiscal au régime social. Il vous donne la possibilité de profiter de la simplification des formalités de création d’activité. Avec ce statut, les obligations de paiement et de déclarations sont également simplifiées. Comme micro-entrepreneur, vous profitez d’un abattement sur votre chiffre d’affaires selon certaines circonstances. Si vous menez une activité de fourniture de logement, d’achat-revente ou de vente à emporter, l’abattement est de 71 %. Si vous faites dans la prestation de service commerciale, l’abattement est à hauteur de 50 %. Si vous menez des activités de type libéral, le taux d’abattement est de 34 %.

Pour obtenir le statut de micro-entreprise, il faut que le chiffre d’affaires de votre entreprise soit de 176 200 € si vous menez une activité de vente de marchandises et de 72 600 € si vous faites dans les professions libérales.

Le statut de micro-entreprise est ouvert à tous et les démarches administratives de création sont plus simplifiées. L’un des avantages de la micro-entreprise est que vous n’avez pas à payer de cotisation sociale si aucune recette n’est enregistrée. Les cotisations sociales sont aussi fonction de votre chiffre d’affaires et vous bénéficiez de la réduction de la comptabilité d’entreprise. D’un autre côté, la micro-entreprise présente quelques inconvénients. En effet, votre chiffre d’affaires est plafonné et il existe une certaine limitation dans la couverture sociale.

La SAS, une solution très flexible pour le travailleur

Le statut de SAS (Société par Actions Simplifiée) est très apprécié pour sa flexibilité. Il s’agit d’une entreprise qui se constitue de plusieurs associés qui peuvent être des personnes physiques ou morales. Les différents associés sont libres de rédiger les statuts de leur entreprise comme bon leur semble et ils pourront décider en toute liberté du mode de fonctionnement de la SAS. Dans la constitution d’une SAS, il faut un président, des associés, un objet social, un capital constitué. Ce statut d’entreprise est soumis à l’impôt sur les sociétés. Il est cependant possible pour les associés d’opter pour une imposition sur les revenus dans la seule condition que la SAS ait moins de 5 ans d’existence.

Le statut de SAS vous permet une grande souplesse dans le fonctionnement et le régime social est intéressant. Vous disposez aussi d’une grande liberté pour rédiger les statuts et l’association avec les autres entrepreneurs est plus facile. Pour les rédiger, il faut toutefois avoir de bonnes compétences techniques et juridiques et les associés n’ont pas la possibilité de s’affilier au régime de travailleurs indépendants.

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La SASU, une solution offrant plus de souplesse

Une entreprise créée obtient le statut de SASU (Société par Actions Simplifiée Unipersonnelle) pour mener une activité professionnelle. Il s’agit d’une SAS dont une seule personne physique ou morale est l’actionnaire. C’est l’associé unique qui prend les différentes décisions au sein de l’entreprise. La SASU paye les impôts sur les sociétés avec un taux de 28 % si le chiffre d’affaires est moins de 50 000 € ou de 33,3 % si le chiffre d’affaires dépasse les 50 000 €. Avec le statut de SASU, il est possible d’être imposable sur le revenu, à condition que l’activité menée par l’entreprise soit industrielle, agricole, commerciale ou libérale.

La SASU dispose d’une organisation plus souple et son mode de fonctionnement est flexible. Vous avez également la possibilité d’investir plus librement et le passage en SAS est plus aisé. D’un autre côté, vous devez savoir que la procédure de création de la SASU est coûteuse et contraignante et les charges sociales sont plus élevées. La présence d’un commissaire aux comptes est aussi obligatoire.

L’EURL, une solution simple pour un travailleur indépendant

L’Entreprise Unipersonnelle à Responsabilité Limitée (EURL) est une sorte de SARL, mais avec un associé unique. L’objectif de ce statut est d’offrir la possibilité aux entrepreneurs d’obtenir les mêmes avantages d’une SARL, mais sans qu’ils ne soient obligés de s’associer avec d’autres entrepreneurs. De la sorte, la protection du patrimoine personnel de l’entrepreneur est assurée. S’agissant de la fiscalité, une EURL est soumise au paiement de l’impôt sur le revenu. Il est possible, dans certains cas, de choisir l’impôt sur les sociétés pendant 5 ans à partir de la date de création de l’EURL.

La constitution facile, la gestion simplifiée et la possibilité de bénéficier du statut de micro-entreprise sont quelques-uns des avantages de ce statut. Il faut également noter certains inconvénients comme une absence de flexibilité, un coût de création élevé et des cotisations sociales obligatoires.

Si vous voulez vous lancer dans le travail indépendant, vous devez connaître les différents statuts liés à ce type d’activité. Vous pouvez passer par le portage salarial qui est une solution très pratique puisqu’il est possible d’effectuer une simulation de ses revenus. Chaque statut a toutefois son mode de fonctionnement, ses avantages et ses inconvénients. C’est à vous de savoir lequel correspond à vos objectifs en tant que travailleur indépendant.

Entrepreneur, avez-vous pensé à investir dans l’immobilier ?

Très plébiscité, l’entrepreneuriat est l’une des activités les plus en vogue du moment. Non seulement il permet d’exprimer son potentiel, mais en plus l’entrepreneur a une plus grande liberté d’action. Aussi, lorsqu’elle est bien gérée, une activité libérale génère des revenus assez conséquents. Toutefois, ce mode de fonctionnement présente aussi des risques non négligeables. C’est pourquoi il convient d’investir dans une activité plus stable telle que l’immobilier. Que savoir de ce type d’investissement ?

Pourquoi investir dans l’immobilier ?

Bien entendu, il existe une multitude de possibilités pour faire fortune. Cependant, le secteur immobilier est sans doute l’un des plus rentables du moment. En effet, il offre de nombreux avantages qu’il serait intéressant de considérer. Déjà, il faut savoir que l’immobilier est l’un des seuls secteurs à rendre effectif le fameux effet levier. Concrètement, il s’agit d’acquérir grâce à certains mécanismes, vos immeubles avec peu ou pas d’investissement financier de votre part. De plus, il faut noter que l’immobilier fait partie des secteurs les plus stables.

Se loger étant l’un des besoins fondamentaux ressentis par tous, il est nécessaire d’avoir un toit au-dessus de sa tête. Par ailleurs, face à la demande sans cesse croissante, les acteurs immobiliers ont dû moderniser leurs techniques de travail.

Certaines d’entre elles sont notamment décrites ici. Si vous cherchez une raison supplémentaire d’investir dans l’immobilier, sachez que cela peut vous servir de filet de secours. Ainsi, en cas d’échec de votre projet d’entreprise, vous aurez toujours une source de revenus annexe.

L’immobilier, un secteur en plein essor avec le Groupe Duval en Afrique

Véritable pilier économique, l’immobilier a de tout temps fait partie des activités les plus prisées. Vous constaterez notamment que beaucoup de grosses fortunes comme le groupe Duval ont justement d’importants portefeuilles immobiliers, surtout en Afrique. D’autre part, les revenus tirés de l’exploitation immobilière constituent un gage de pérennité pour ce secteur.

Il faut savoir que vous pouvez tirer profit de ce business de différentes façons très intéressantes. Par exemple, en mettant votre bien en location, vous obtiendrez des rentes mensuelles. En outre, l’option du flip immobilier peut également être explorée. Il s’agira en l’occurrence d’acheter un immeuble puis de le revendre ensuite avec des profits. Générant très vite des revenus, cette pratique est également en plein développement.

Les différents types d’investissement immobilier

Si vous désirez vous lancer dans l’activité immobilière, il importe de connaître les options qui s’offrent à vous. Ainsi, vous serez en mesure de choisir celle qui vous convient le mieux.

L’investissement locatif

C’est la forme d’investissement la plus courante. Il s’agira pour vous de mettre votre bien en location. Ce faisant, vous obtiendrez mensuellement un revenu net en complément de votre activité entrepreneuriale. En outre, plus votre immeuble est bien situé, plus le montant du loyer pourra être élevé. De même, le standing de votre appartement sera un élément important dans le montant de la rente.

Investir à travers sa résidence

Une autre façon de se faire de l’argent dans l’immobilier consiste à mettre en valeur sa résidence secondaire. Si vous disposez d’un appartement ou d’une maison que vous n’utilisez pas fréquemment, vous pouvez en tirer profit. Selon vos espérances, votre maison peut-être louée périodiquement ou toute l’année. Par ailleurs, cette option est également possible même avec votre appartement. Durant vos vacances, vous pouvez mettre votre local en location et en tirer un bénéfice lucratif. Toutefois, cette solution n’est pas vraiment adaptée au long terme.

Le crowfunding immobilier

Très intéressante, cette option est également accessible. En réalité, il s’agit surtout d’un investissement participatif. Vous devez en l’occurrence financer des promoteurs pour l’acquisition d’un bien immeuble. Il faut dire que le retour sur investissement est assez rapide dans ce genre de cas. Cela peut aller de 12 à 30 mois en fonction du projet immobilier. Par ailleurs, les bénéfices peuvent atteindre 10 % net avant impôts. En revanche, il est important de bien vous renseigner sur vos associés avant d’y mettre votre argent. Le mieux serait de constituer votre propre groupe de promoteurs.

L’option des SCPI

Ce système se rapproche quelque peu de celui du crowfunding. Une société civile de placement immobilier est un regroupement de personnes désireuses d’investir dans un projet immobilier. Généralement, les participants à ce genre d’initiative sont aussi bien des personnes physiques que morales. Cette option vous permet notamment de détenir des parts dans cette micro entreprise. Par ailleurs, ce mode d’investissement présente un avantage non négligeable. En optant pour la SCPI, vous pouvez engager un faible capital. En revanche, vous ne pourrez pas toujours décider du projet qui sera mis en place.

Solution très astucieuse, l’investissement immobilier est une activité très bénéfique. Bien gérée, elle pourrait même devenir votre principale source de revenus.

France : le pays idéal pour monter son entreprise ?

Développer une entreprise est un processus relativement long et délicat. Sans les informations appropriées et une bonne préparation, bon nombre de projets se retrouvent en échec. L’un des problèmes fondamentaux est de trouver une situation géographique favorable pour son entreprise. À cet effet, la France présente de nombreuses qualités et s’avère une destination de premier choix. Découvrir ici les avantages à vous lancer dans l’entrepreneuriat dans l’Hexagone et quelques astuces et recommandations pour mener à bien votre projet de création d’entreprises en France.

En quoi la France est-elle un pays de référence pour installer votre entreprise ?

Le succès d’une entreprise est fortement conditionné par son emplacement. De nombreux pays à travers le monde constituent de véritables mines d’or pour les entrepreneurs. Au nombre de ces pays, la France occupe une place de choix, et ce pour de nombreuses raisons.

La notoriété de la France sur le plan professionnel

La France accueille chaque année de nombreux entrepreneurs et investisseurs français comme étrangers. C’est un pays de confiance qui sert d’ailleurs d’ouverture sur le marché européen. De plus, c’est un état réputé pour fournir des professionnels compétents dans de nombreux domaines d’avenir. La qualification professionnelle y est ainsi très élevée, ne laissant douter aucun entrepreneur.

De plus, la France est en passe de devenir une « start-up nation ». Elle favorise d’ores et déjà l’implantation et le développement de plusieurs start-ups, qui constituent un important maillon de l’économie nationale. Elle met un point d’honneur à accompagner ces jeunes entrepreneurs dans l’atteinte de leurs objectifs.

Les aides à la création d’entreprise et la simplification des démarches

Désormais, monter son entreprise en France est devenu beaucoup plus aisé grâce à des démarches administratives simplifiées et à certaines aides de l’État. Les délais liés aux différentes étapes de création d’entreprise ont en effet été réduits et plusieurs types d’aides gouvernementales existent, en fonction de la situation de chaque entrepreneur.

Les personnes au chômage peuvent par exemple bénéficier de l’ACRE (aide au créateur ou repreneur d’entreprise), une aide pour les aiguiller dans la création de leur entreprise. Toutefois, les aides octroyées par l’État ne se limitent pas à des aides financières. Il y a également des formations qui aiguillent les candidats à l’entrepreneuriat. Ces formations ne sont pas obligatoires, mais elles s’avèrent particulièrement utiles. Elles sont adaptées à l’activité choisie par l’entrepreneur et sont dispensées par des organismes habilités.

Que savoir avant de monter votre entreprise en France ?

Outre les raisons valables de choisir une ville française comme emplacement de votre entreprise, voici l’essentiel à savoir sur la création d’entreprise avant de vous lancer.

L’analyse de votre idée et l’étude de marché

Tout projet de création d’entreprises part d’une idée. Cette dernière fait allusion à ce que vous désirez faire concrètement. Quels seront les objectifs et l’utilité de votre entreprise ? Quelles sont les activités que vous souhaitez proposer ? En répondant à ces questions, vous pouvez déjà voir si votre idée est en adéquation avec votre environnement. Vous serez ainsi en mesure d’avoir un aperçu de ce qui se fait déjà chez vos futurs concurrents, d’affiner votre cible et de mieux adapter votre idée au contexte.

En outre, il est préférable d’opter pour un domaine qui correspond à vos aptitudes personnelles et professionnelles. Le processus de création d’entreprise est long, vous devrez donc vous armer de courage, de patience et de beaucoup de détermination. N’hésitez pas à vous faire épauler par des proches ayant des connaissances en entrepreneuriat ou des entrepreneurs confirmés.

L’élaboration de votre business plan

C’est à partir de l’étude de marché que vous établirez votre business plan. Il s’agit d’une mise à l’écrit de votre projet dans les moindres détails. Il sera donc fait mention de l’activité, du parcours et des prévisions budgétaires (le financement pour démarrer et les revenus espérés après la création). Ce document reprend aussi le statut juridique envisagé.

La recherche de financement et le choix du statut juridique

À partir du business plan, vous avez déjà une idée de ce que devrait coûter l’implantation de votre structure. C’est donc le moment de faire le point de vos finances personnelles et de déterminer votre propre apport. Vous pouvez aussi envisager de demander de l’aide à vos proches ou à votre banque pour avoir un capital conséquent. N’hésitez pas non plus à vous renseigner sur votre éligibilité aux aides financières disponibles.

En ce qui concerne le statut juridique, il en existe une multitude en France. Vous devez choisir le statut qui présente le plus d’avantages pour vous en ce qui concerne la responsabilité et les charges fiscales. Le choix dépend du nombre d’associés que vous aurez, du type de projet que vous monterez et de la manière dont seront exécutées vos activités.

Quelles démarches prévoir pour mettre sur pied votre structure ?

Les étapes précitées concernent essentiellement la préparation à la création d’entreprise. Lorsque votre plan est à présent bien établi, vous pouvez passer à l’installation proprement dite.

La recherche d’un emplacement pour votre entreprise

À moins que votre entreprise ne se situe à votre domicile, vous devrez chercher un lieu approprié. En revanche, si vous effectuez des prestations à domicile directement auprès de vos clients, il n’est pas nécessaire de faire une recherche de locaux. Pour un début, il est possible de s’installer dans une pépinière d’entreprises, un centre d’affaires, ou simplement de louer un local commercial. Vous devez ainsi prévoir un budget conséquent dès l’étape du business plan.

Cependant, toutes ces solutions ne sont que des mesures temporaires. Pour une installation plus pérenne, vous pouvez directement acheter un local ou en faire construire un. Cela vous permettra d’ailleurs d’amoindrir les coûts. Notez qu’il est recommandé de privilégier des zones relativement fréquentées, dans des endroits suffisamment développés comme la région parisienne.

La rédaction et la signature des statuts (non nécessaire pour les entreprises individuelles)

Pour réaliser cette tâche, il est recommandé de se faire accompagner par un avocat ou un expert-comptable. Le contenu des statuts d’une entreprise dépend en grande partie du statut juridique choisi. Ces statuts doivent comporter les indications indispensables au bon fonctionnement de votre structure, en plus des mentions légales obligatoires. Vous pouvez également commencer à rassembler les pièces constitutives du dossier de création d’entreprise. Les pièces à fournir varient selon le statut juridique choisi.

Les démarches administratives

En premier lieu, vous devez publier une annonce dans un journal d’annonces légales pour témoigner de votre intention d’ouvrir une entreprise. Vous devez ensuite déposer votre dossier de création au greffe dont dépend votre entreprise. Il est d’ailleurs possible de soumettre son dossier en ligne sur un site agréé par le gouvernement français.

Quelques jours après, vous recevrez l’immatriculation au RCS (Registre du Commerce et des Sociétés) de votre entreprise et la confirmation de son ouverture. Cela se traduit par l’obtention de l’extrait Kbis, de même que les numéros SIRET et TVA.

Faites découvrir votre entreprise

Une fois votre entreprise créée et implantée, vous devez à présent en faire la promotion. La première étape est de créer un site internet et de l’optimiser convenablement. Il faut ainsi prévoir de soigner le référencement de votre site ainsi que de vos campagnes publicitaires. Vous pouvez aussi envisager l’utilisation des réseaux sociaux, du street marketing, des promotions et bien d’autres activités pour attirer le plus de clients et les fidéliser. Dans tous les cas, veillez à inclure les frais liés à cette communication dans votre budget de démarrage d’activité de votre activité.

Le point sur le statut d’auto-entrepreneur et la micro-entreprise

Jusqu’en 2016, le statut d’auto et de micro entrepreneur étaient deux notions bien distinctes. Ces statuts étaient attribués à des entrepreneurs individuels. L’auto-entrepreneuriat était beaucoup plus avantageux, car ce statut offrait deux régimes simplifiés (micro-social et micro-fiscal simplifiés). Le micro-entrepreneuriat était quant à lui soumis à l’impôt sur revenu (IR) et au régime des travailleurs de type indépendants.

Depuis le 1er janvier 2016, conformément à la Loi Pinel, ces deux statuts ont fusionné pour devenir le statut de micro-entreprise. Ce statut est soumis aux régimes micro-social et micro-fiscal. Les entrepreneurs ayant ce statut peuvent choisir de payer leur impôt sur le revenu par mois ou par trimestre. Il s’agit du versement libératoire.

L’avantage de cette fusion est qu’elle a permis de raccourcir et de faciliter la création d’entreprise en France pour les entrepreneurs individuels. Ces derniers n’ont plus à choisir entre ces deux statuts. De plus, ils bénéficient d’une franchise en base de TVA sous certaines conditions.

Zoom sur la création d’entreprise en Europe

Depuis plusieurs années, l’UE (Union européenne) milite pour faciliter la création d’entreprises dans tous les pays de son territoire. À l’instar de la France et des autres pays de l’Union, l’Islande, la Norvège ainsi que le Liechtenstein bénéficient tous de cette politique d’assouplissement. Au nombre des normes établies pour faciliter l’arrivée des entrepreneurs, il y a le délai de la procédure de création qui est fixé à trois jours.

En ce qui concerne les frais de création, l’Union européenne invite les pays membres à ne pas dépasser la barre des 100 euros. De plus, il est permis d’effectuer les démarches de création en ligne pour gagner du temps. Toujours dans le souci de faciliter la création d’entreprise, toutes les démarches peuvent être effectuées auprès d’un seul et unique organisme.

Le marché européen ouvre ses portes à tous les statuts juridiques pour la création d’une entreprise, d’une société et même d’une filiale. Quel que soit le pays de l’UE que vous choisissez pour implanter votre structure, vous bénéficiez à la fois de l’accompagnement et du suivi nécessaire. Notamment en France, vos démarches sont facilitées, raccourcies et très souvent subventionnées.

Comment réussir sa domiciliation en Suisse ?

La domiciliation en Suisse est une pratique qui attire de nombreux créateurs d’entreprise. Ce pays est en effet considéré comme l’un des plus grands centres d’affaires d’Europe et permet aux professionnels qui s’y établissent de profiter de nombreux avantages en matière de développement d’activité.

Se domicilier en Suisse est particulièrement indiqué pour les sociétés nouvellement constituées, les sociétés patrimoniales de type holding et les entreprises qui veulent avoir un siège social et des sites d’exploitation distincts. Pour réussir sa domiciliation, il y a toutefois des impératifs à respecter. Il est important de s’informer au préalable sur ce qu’implique cette option et sur la meilleure solution à adopter pour faciliter la démarche, telle que le recours à une société fiduciaire.

Domiciliation d’entreprise en Suisse : les formalités

La première étape de la domiciliation en Suisse consiste à s’inscrire au registre du commerce ou RC, qui répertorie les informations relatives aux entreprises domiciliées en Suisse. Il est encadré par l’Ordonnance sur le Registre du Commerce (ORC). Il s’agit d’une obligation sauf pour les entreprises dont le chiffre d’affaires annuel est en dessous de 100 000 CHF.

L’inscription s’effectue en ligne via la plateforme Starbiz pour les entreprises en commandite, en nom collectif ou de raisons individuelles. Les sociétés de capitaux quant à elles (les SA, les SARL), doivent passer par un notaire car la rédaction des statuts est nécessaire.

Pour s’enregistrer au RC, l’entreprise doit préciser sa dénomination sociale incluant le nom de famille du propriétaire et celui d’un des associés au moins, pour les sociétés en nom collectif ou en commandite. La mention SA » doit être expressément précisée pour ce type de société. Attention, la raison sociale est vérifiée par le bureau du canton pendant la mise en œuvre des procédures d’inscription au RC.

Les frais d’inscription au RC varient en fonction du type d’entreprise.

Enfin, l’entreprise doit procéder aux déclarations Stampa et Lex Friedrich. La déclaration Stampa atteste que l’entreprise n’envisage d’octroyer ni avantages ni compensation de créances à ses fondateurs. La déclaration Lex Friedrich quant à elle, prouve que l’entreprise n’a violé aucune loi fédérale relative à l’acquisition d’immeubles par des individus étrangers.

Désignation et rôle du représentant en Suisse

La législation en Suisse, et plus précisément le Code des obligations, exige la présence d’un gérant pour les SARL et d’un administrateur pour les SA, et pour toutes les sociétés de capitaux fondées par un entrepreneur non résident, étranger ou suisse sur place. C’est la raison pour laquelle les fiduciaires incluent généralement un mandat de gérant de société en Suisse dans leurs prestations, pour les créateurs d’entreprise qui choisissent de domicilier leur entreprise par ce moyen sur le territoire helvétique.

fiduciaire suisse

Le gérant ou l’administrateur de la société en Suisse a pour rôle d’assurer l’organisation et l’administration de celle-ci. Sa responsabilité couvre tous les sujets qui ne relèvent pas de la responsabilité de l’assemblée générale.

Ses missions s’articulent autour de :

  • La haute direction de la société.
  • L’établissement des instructions nécessaires.
  • La prise de décision d’organisation conformément à la loi et aux statuts.
  • La surveillance des personnes désignées pour gérer partiellement la société et notamment le respect de la loi, des règlements, des statuts et des instructions données.
  • La préparation de l’assemblée des associés et l’exécution des décisions.
  • La fixation des principes de la comptabilité, du contrôle financier ainsi que du plan financier si besoin.
  • L’information du juge en cas de surendettement.
  • La convocation et direction des associés, s’il est le seul gérant de la société. Dans ce cadre, il se charge aussi de toutes les communications aux associés et du dépôt des réquisitions auprès de l’office du registre du commerce.

Les responsabilités du gérant ou de l’administrateur peuvent être engagées en cas de dettes. Cette disposition est prévue à l’article 754 du CO qui précise que le gérant et l’administrateur sont responsables personnellement en cas de dommages et si celles-ci sont le fruit d’une négligence ou d’un manquement intentionnel de leur part.

Il est d’ailleurs du devoir de ces derniers de toujours protéger fidèlement les intérêts des actionnaires et de l’entreprise dans le cadre de leur mandat.

Pour toutes ces raisons, il est très important de faire appel à un représentant de confiance et qui justifie aussi de toutes les compétences nécessaires pour la représentation de la société auprès de l’administration en Suisse.

Faire appel à une fiduciaire pour la domiciliation

La société fiduciaire est une des solutions les plus sûres pour réaliser la domiciliation de son entreprise en Suisse dans les règles.

Le fiduciaire est une société qui œuvre dans l’aide à la création et l’administration d’entreprises en Suisse. Il propose aussi des services relatifs au conseil fiscal et juridique pour les entrepreneurs qui décident de faire affaire sur le territoire helvétique.

Le recours au fiduciaire pour la domiciliation en Suisse permet de profiter de nombreux avantages et notamment la possibilité de signer un contrat de domiciliation. Étant donné que cette démarche n’est pas réglementée en Suisse, ce document permet de définir clairement les droits et les obligations respectifs de chaque partie et donc d’encadrer le service.

L’autre avantage de la domiciliation avec un fiduciaire est la facilitation de toutes les démarches, de l’inscription au registre à la recherche de locaux. En effet, ce prestataire s’occupe de toutes les formalités relatives à la fourniture d’une adresse facilement et rapidement.

Les services de domiciliation avec un fiduciaire incluent également d’autres prestations complémentaires qui facilitent la gestion de la société en Suisse. Selon les besoins de l’entreprise, il peut proposer la réception du courrier, des recommandés et des colis, le transfert et le renvoi du courrier par voie postale ou par e-mail, la réception des appels téléphoniques, le renvoi automatique des appels, etc.

Il peut également accompagner le dirigeant dans les formalités de création de la société notamment en le conseillant à propos de la forme juridique la plus avantageuse ainsi que de l’accomplissement des formalités auprès de l’administration (ouverture de compte bancaire, dépôt du capital, inscription auprès du registre du commerce, etc.). Sans oublier que le fiduciaire est aussi habilité à proposer ses services de représentation afin que l’entreprise puisse disposer d’un administrateur ou d’un gérant de confiance auprès des administrations communales ou cantonales et de ses créanciers.

Quel budget faut-il prévoir pour démarrer son entreprise ?

Les formalités de la création d’entreprise se sont largement simplifiées ces dernières années. Toutefois, elles ne sont pas gratuites. Bien connaître leurs coûts est indispensable pour estimer correctement les besoins de financement de votre entreprise. Ces derniers peuvent connaître des variations significatives selon le statut que vous souhaitez donner à votre établissement : SARL, EURL, SASU, EIRL ou microentreprise. Alors, quel budget devez-vous prévoir pour lancer votre entreprise ? Découvrez la réponse dans ce guide !

Le coût de l’annonce légale

Lorsque vous envisagez de créer une société (SARL, SASU, SAS, SNC, SCI ou SELARL…), il est impératif de publier un avis dans un journal d’annonces légales. Sans cela, votre dossier ne sera pas accepté par le greffe. La publication de cette annonce a un coût variable qui est fixé chaque année par le ministre de la Culture et de la Communication et le ministre de l’Économie et des Finances. Vous êtes autorisé à publier dans le journal d’annonces légales de votre choix à condition que celui-ci soit situé dans le même département que votre siège social.

Grâce à cette liberté, vous pouvez optimiser les coûts en choisissant minutieusement votre journal. À cet effet, sachez que le prix d’une annonce légale dépend de plusieurs éléments, dont le département de publication et le nombre de lignes. À Paris par exemple, le tarif HT à la ligne est de 5,39 euros. Ainsi, pour un avis de 25 lignes publié dans un journal d’annonces légales parisien, le coût est de 25 x 5,39, soit 134,75 euros (HT). À ce dernier, il faudra ajouter le coût de l’exemplaire du journal d’annonces légales qui vous sera remis par voie postale.

Il est important d’optimiser votre annonce si vous souhaitez payer un montant raisonnable. En effet, certaines mentions ne sont pas utiles et peuvent être supprimées afin de réduire le nombre de lignes du formulaire. Vous pouvez visiter des sites qui proposent ces formulaires optimisés. Ces derniers peuvent vous permettre de faire des économies de l’ordre de 30 à 40 %. N’hésitez donc pas à comparer différents journaux afin de faire un bon choix.

Le capital social

Le capital social ne concerne pas les entreprises individuelles, mais seulement les sociétés. Il est votre première source de trésorerie et peut couvrir partiellement les frais identifiés pour le démarrage des activités de votre entreprise. Il est réparti en deux catégories à savoir : les apports numéraires et les apports en nature.

Les apports en numéraire

Pour les SARL, EURL et SAS, les apports en numéraire sont fixés à 1 euro au moins. Par contre pour une SA, ils s’élèvent à 37 000 euros. Cependant, vous avez la possibilité de ne verser que la moitié, soit 18 500 euros lors de la création de l’entreprise.

De toute évidence, il peut sembler plus intéressant de créer une SARL, une EURL ou une SAS plutôt qu’une SA. Toutefois, retenez que ce ne sont pas les frais de création qui doivent vous orienter vers le type d’entreprise à créer.

Les apports en nature

Vous pouvez effectuer un apport initial en nature (des biens meubles par exemple) pour constituer le dépôt de capital de votre société. Dans ce cas, l’expertise d’un commissaire aux apports peut être nécessaire. Ce dernier fixe librement ses honoraires en fonction du type et de la nature de votre apport. Prévoyez entre 1000 et 2000 euros pour cela.

Lorsque vous envisagez de créer une EURL ou une SARL, vous pouvez ne pas solliciter les services d’un commissaire aux apports si aucun apport en nature n’excède 7500 euros. La somme totale des différents apports ne doit également pas excéder la moitié de votre capital social. Par contre, pour une SA ou une SAS, le recours à un commissaire aux apports est systématique.

Combien coûtent les démarches administratives ?

En dehors de l’annonce légale et des frais liés à la constitution du capital, il faut également prévoir un budget pour les démarches administratives restantes.

La rédaction des statuts

La rédaction des statuts de votre entreprise est une étape indispensable lors de sa création. Ces derniers définissent les règles qui régissent les rapports entre les associés, mais également les interactions avec les tiers. La procédure ne concerne pas les entreprises individuelles, mais uniquement les sociétés. Vous pouvez avoir recours aux services d’un professionnel pour cette démarche administrative. Toutefois, aucune obligation légale ne vous empêche de rédiger personnellement les statuts de votre société.

Si vous choisissez cette option, vous pouvez télécharger gratuitement sur internet des modèles de statuts que vous compléterez en fonction des caractéristiques de votre entreprise. Mais dans ce cas, assurez-vous que les modèles que vous avez choisis portent les mentions obligatoires imposées par la loi pour votre type d’entreprise.

Cela est très important, car si vos statuts sont approuvés et validés, leurs modifications engendreront des frais conséquents. Pour éviter ces revers, je vous conseille de faire appel à un avocat spécialisé en droit des sociétés ou à un expert-comptable.

Confier la rédaction des statuts à un expert est une solution qui peut paraître onéreuse certes, mais vous avez la certitude d’obtenir un résultat professionnel. Les honoraires d’un expert dépendent principalement :

  • De sa notoriété ;
  • Du nombre d’associés ;
  • De la forme juridique de la société ;
  • De la complexité des règles de fonctionnement de l’établissement nouvellement créé.

Les statuts d’une SARL sont par exemple plus simples à rédiger que ceux d’une SA. Pour une société qui n’a qu’un seul associé, les frais n’excèdent pas 500 euros en général. Pour des projets qui réunissent plusieurs associés, les frais peuvent varier entre 800 et 3000 euros.

L’immatriculation

Votre entreprise en cours de création doit être immatriculée au Registre du Commerce et des Sociétés (RCS). Vous pouvez réaliser cette procédure dans un Centre de Formalité des Entreprises. Les tarifs varient selon le statut de votre entreprise. Ils s’élèvent à 25,34 euros pour une entreprise individuelle commerciale et 39,42 euros pour une société commerciale. La procédure est gratuite pour les microentreprises. Si la démarche aboutit, vous obtiendrez votre extrait Kbis, un document légal qui justifie votre immatriculation.

Si vous êtes artisan, vous devez vous immatriculer au répertoire des métiers (RM) afin de pouvoir exercer comme travailleur indépendant. Les coûts liés à cette demande varient entre 60 et 90 euros en fonction du statut juridique choisi. Vous avez également la possibilité d’effectuer un stage de préparation à l’installation (SPI) auprès de votre chambre de métiers. Ce stage vous coûtera en moyenne 200 euros.

Voilà, vous pouvez désormais estimer le budget qu’il vous faut pour remplir les formalités administratives liées à la création de votre entreprise. Des frais d’étude de marché ou de dépôt de demande de brevet peuvent également s’y ajouter. Assurez-vous d’en tenir compte s’ils vous concernent.

Le business en ligne, c’est du travail !

Pour atteindre la liberté financière, de plus en plus de personnes se lancent dans l’entrepreneuriat. En 2019 par exemple, plus de 815 000 entreprises ont été créées. Parmi les entrepreneurs, beaucoup choisissent le business en ligne pour générer des revenus relativement importants. Vous pouvez vous aussi développer une activité en ligne ou digitaliser votre entreprise si vous avez déjà un point de vente physique. Mais, comment réussir le lancement d’une entreprise en ligne ? Quelles sont les meilleures activités pour gagner de l’argent sur internet ?

Le business en ligne, ce n’est jamais de l’argent facile

Impossible d’y échapper, internet est désormais omniprésent dans nos vies. Des milliards de personnes sont aujourd’hui connectés par ce canal et la majorité souhaite en faire une source de revenus sans fournir le moindre effort. Cependant, il n’y a pas de « gain facile » avec le business en ligne. Quelle que soit votre activité en ligne, vous éprouverez certainement quelques difficultés au départ, car il n’est pas toujours aisé de trouver un produit qui intéresse le public ou qui malgré la concurrence arrive à toucher du monde.

Avec les milliers de blogs qui sont créés dans chaque niche, et les nombreuses entreprises en ligne qui offrent les mêmes services que vous, vous devez être parmi les meilleurs pour rentabiliser votre business. Une chose est sûre, des activités rentables en ligne existent. Mais, c’est uniquement en travaillant dur que vous atteindrez un bon chiffre d’affaires annuel.

business en ligne

Quel type d’activité choisir pour gagner de l’argent ?

Pour gagner de l’argent en ligne, vous pouvez entreprendre l’une de ces activités.

Le dropshipping

Il s’agit d’une activité en ligne qui vous permet de vendre un produit sans avoir de stock et en demandant juste au fournisseur d’expédier directement chez le client. L’activité est très intéressante, car vous évitez de garder sur les bras des stocks invendus. Mais les délais de livraison peuvent être plutôt longs. De plus, il faut être déclaré pour faire du dropshipping. En France par exemple, avoir le statut d’autoentrepreneur ou de micro-entreprise dès 16 ans permet de vous adonner à cette activité. Vous pourrez créer une SAS, SASU ou SARL une fois que votre business connaîtra une bonne croissance. À noter que seule une bonne niche vous permettra de vous faire un maximum de revenus avec le dropshipping. Une niche, c’est une quantité limitée de futurs acheteurs (quelques centaines ou milliers) représentant un petit segment de marché. Ce qui est intéressant avec ce concept, c’est que vous pouvez vous positionner comme un spécialiste et écouler plus aisément votre produit.

L’affiliation

Il s’agit d’une technique e-marketing qui permet à un site web annonceur de faire la promotion de ses produits ou services en proposant une rémunération à d’autres sites web éditeurs (affiliés) en contrepartie d’un apport de ventes, de trafic ou d’inscriptions. Si vous souhaitez avoir plus d’informations sur le dropshipping, l’affiliation, le coaching, la création d’application ou d’un blog de niche ou toute autre forme de business en ligne, vous avez la possibilité de suivre des formations adaptées et accéder à de précieux conseils directement en ligne pour lancer et développer vos affaires.

Pour faire de l’affiliation aujourd’hui sur internet, vous devez avant tout choisir un produit à promouvoir en tant qu’affilié. Pour faire un bon choix, commencez par des produits que vous connaissez et aimez déjà, car cela vous fera gagner du temps. Vous pourrez ainsi témoigner facilement des résultats. Toutefois, si vous n’avez pas de connaissance particulière sur un produit, vous pouvez rechercher des produits via un réseau d’affiliations. Cette approche vous invite en réalité à l’achat de produits à essayer.

Ensuite, installez-vous en tant qu’affilié. Pour y parvenir, il faut postuler et être approuvé par le vendeur du produit. Il vous fournira un lien d’affiliation. Chaque fois que votre lien sera utilisé pour l’achat du produit, vous gagnerez des commissions. Cependant, c’est uniquement par la promotion de vos offres d’affiliation que vous retiendrez l’attention d’éventuels acheteurs. Avec des moyens déguisés comme la rédaction de contenu personnalisé sur un blog, il est vraiment simple aujourd’hui de drainer du trafic autour de votre produit. Dans tous les cas, n’oubliez pas de vous conformer aux exigences légales sur l’affiliation qui varient d’un territoire à l’autre. Dans beaucoup de pays par exemple, vous êtes tenu d’informer les internautes que vous touchez une commission sur chacune de vos ventes.

Le coaching et la vente de formations

Cette stratégie vous permettra d’augmenter vos revenus si vous avez des compétences particulières. Il vous suffira de proposer des cours individuels ou de faire des séances de coaching sur un sujet particulier et d’actualité. Cela se fait généralement sur les réseaux sociaux (dans les groupes Facebook, WhatsApp, sur YouTube…). Vous pouvez aussi créer un site en ligne pour vendre vos formations à vos abonnées ou aux membres.

La création d’application

C’est une activité qui n’est pas donnée à tout le monde, car il faut s’armer de beaucoup de patience pour pouvoir la monétiser. Vous devez bien réfléchir sur les modèles de rémunération. Il existe actuellement sur le marché divers modes de rémunérations pour une application : achat In-app, l’application payante, les applications de jeux et les applications de Shopping. Dans tous les cas, il vous faut une bonne formation pour pouvoir créer une application de qualité supérieure.

se lancer en dropshipping

Comment réussir le lancement de votre entreprise en ligne ?

Vous n’obtiendrez rien en ligne sans investir du temps et sans une motivation à toute épreuve. Assurez-vous également que les services ou produits proposés par votre entreprise en ligne sont intéressants, et démarquez-vous de vos concurrents en faisant preuve d’originalité ainsi que de créativité. Par exemple, si vous envisagez de lancer un site internet, travaillez correctement en amont votre stratégie SEO, car il reste l’une des sources de trafic les plus sûres et rentables. Les techniques et stratégies de marketing digital sont innombrables aujourd’hui, vous devez dénicher celle adaptée à votre activité pour réussir.

Comment rentabiliser votre business en ligne sur le long terme ?

Pour maintenir votre business à flot et le développer sur le long terme, vous devez éviter de dépendre d’une seule source de trafic, car vous n’irez pas bien loin si celle-ci se coupe subitement. Vos sources de trafics doivent donc être diverses et variées (Facebook Ads, Google Adwords). Quelle que soit la situation, ne vous découragez pas et soyez toujours à l’affût des opportunités.

En somme, créer un business en ligne n’est pas une mince affaire, mais avec une bonne formation et des activités comme le dropshipping, l’affiliation, la création d’application, le coaching et la vente de formations, vous pouvez gagner beaucoup d’argent.

https://www.insee.fr/fr/statistiques/4289603

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