Qu’est-ce qu’un logiciel ERP ? Quelle est son utilité ?

Définition d’un logiciel ERP ?

ERP est un sigle anglais qui signifie « Enterprise Ressource Planning ». En français, il peut se traduire par l’acronyme PGI ou Progiciel de Gestion Intégrée. Un logiciel ERP est donc un outil informatique qui contribue à la gestion des processus opérationnels d’une entreprise. Il se compose d’applications informatiques (encore appelées modules) indépendantes, mais reliées à une base de données spécifique et commune.

Ainsi, grâce à la multitude de fonctionnalités dont il dispose, l’ERP offre aux dirigeants des données fiables, en temps réel. Il est essentiel pour l’Optimisation des processus de votre entreprise, car il aide dans divers domaines, notamment la planification, la gestion des stocks, la comptabilité, les ressources humaines, etc. Avec un ERP, le temps de traitement des données est aussi réduit, tandis que les flux d’informations sont plus simples et rapides, facilitant la communication interne de l’entreprise.

Quelle est la différence entre un CRM et un ERP ?

(suite…)

Les éléments clés pour développer son entreprise

Créer une matrice pour catégoriser systématiquement et dans l’absolu les problèmes de croissance pour offrir des solutions génériques à tout type d’entrepreneur peut relever de l’utopie. En effet, les petites entreprises varient considérablement en termes de taille et de capacité de croissance. Elles se caractérisent par une indépendance d’actions, des structures organisationnelles différentes et des styles de gestion variés.

Pourtant, en y regardant de plus près, il apparaît que des problèmes communs se posent à des stades similaires de leur développement. Ces points communs peuvent être organisés en un cadre qui nous permet de mieux comprendre la nature, les caractéristiques et les problèmes des entreprises. 

Dans cet article, vous découvrirez les éléments clés qui ont influencé la réussite de toutes les start-up et que tous les entrepreneurs à succès ont intégré à l’ADN de leurs entreprises.

L’empathie : levier de développement de l’entreprise du XIXème siècle

elements-developper-entreprise

Si vous deviez choisir un « super pouvoir » en tant qu’entrepreneur, lequel serait-ce ? Quels sont les plus importants leviers de croissance et de productivité des équipes ? Il existe en réalité, une compétence capitale qui peut totalement modifier l’essence même de votre business (en interne comme en externe) pour faire passer un cap supérieur à l’entreprise.

Cette compétence est l’une des clés les plus importantes pour améliorer ses ventes, influencer, convaincre et motiver toutes les personnes impliquées dans la vie et le développement de votre entreprise. Son nom ? L’empathie !

Comme le disait Steve Jobs “Vous ne pouvez ordonner la productivité. Vous devez plutôt fournir les outils et moyens qui permettront aux gens d’être meilleurs”. Ces outils et moyens sont aussi bien matériels que psychologiques.

Légitimer le leadership

La capacité à évaluer une situation de la perspective d’autrui a des effets quasi comparables à un super pouvoir magique. C’est une compétence que vous devez absolument développer en tant que chef d’entreprise dans la mesure où elle vous permettra de faire naître chez tous vos collaborateurs, un véritable sentiment d’appartenance à l’entreprise. Dès lors, chaque membre de l’équipe sera heureux de faire partie de l’équipe, et donc plus enclin à faire preuve d’abnégation pour la croissance de l’entreprise.
Un client mécontent, un collaborateur en perte de performance, etc. L’empathie vous permettra de répondre à toutes sortes de problématiques qui se poseront à vous ?

L’empathie, c’est la faculté à se mettre à la place des autres, aborder la situation de leur point de vue, comprendre leur raisonnement et appréhender les états mentaux qui dirigent leurs actions. L’empathie est l’outil qui vous permettra à chaque moment, de vous exprimer dans un langage que saisit parfaitement votre interlocuteur et donc de le conduire exactement là où vous voulez. Comme le démontre d’ailleurs plusieurs études scientifiques (1), l’empathie est une qualité qui permet de légitimer totalement son leadership.

Une main ferme, mais douce et compatissante

Ne vous y méprenez surtout pas. L’empathie n’a rien à voir avec le manque de rigueur et de fermeté. Il ne s’agit pas non plus de se transformer en une espèce de bon samaritain qui dit oui à tout. C’est une compétence sociale indispensable à tout entrepreneur qui souhaite une réussite durable. Une capacité qui témoigne d’une grande intelligence émotionnelle : un outil commercial et managérial redoutable.

C’est cette faculté qui fera qu’un collaborateur ne vous en voudra même pas alors même qu’il reçoit un blâme ou une réponse négative à une demande. En tout état de cause, il s’agit d’une aptitude qu’on ne développe qu’en s’intéressant sincèrement à l’autre. D’après les conclusions de cette étude (2), l’empathie est une composante essentielle du leadership du 21e siècle qui ne peut plus être ignorée.

Apprendre à voir le génie chez les autres

L’un des traits qui caractérisent les entrepreneurs à succès, c’est la capacité à se transformer en véritable éponge lorsqu’il s’agit d’apprendre des autres. Vous le savez probablement déjà, mais lorsqu’on envisage le développement de son entreprise, il est extrêmement profitable de pouvoir s’inspirer d’un mentor. Bien sûr, la plupart auront tendance à choisir des hommes d’affaires célèbres tels que Warren Buffet, Elon Musk, Steve Jobs ou encore Mark Zuckerberg. Mais il peut également s’agir de sportifs, de politiciens ou encore de scientifiques. L’histoire de ces personnes, leurs parcours, leurs méthodes, leur ténacité ainsi que leur capacité à susciter des changements de paradigme auprès de leurs pairs sont autant d’éléments qui vous permettront de forger votre mindset d’entrepreneur.

Cela dit, prenez garde à ne pas tomber dans le piège de l’auto sous estimation. En effet, choisir des mentors aussi célèbres en tant que modèle peut à la longue vous complexer parce que vous n’aurez pas réalisé quelque chose d’aussi grandiose. Cette perception nous vient notamment du modèle d’hyper concurrence dans lequel nous sommes moulés depuis la plus tendre enfance. Le modèle de valeur et de jugement qui domine actuellement notre société fait le culte de la première place, le N°1. Il faut donc prendre garde à ce piège. L’objectif, c’est d’être meilleur que la personne que vous étiez hier ; c’est d’avoir de meilleurs résultats que ceux de l’année dernière, du mois dernier. Il n’y a qu’à travers une auto amélioration constante que l’on finit par surpasser la concurrence. Tous les sprinters vous le diront : le meilleur moyen de ne pas gagner, c’est de se concentrer sur la course de ses adversaires.

Par ailleurs, l’exemple des célébrités que vous choisissez comme source d’inspiration peut être très abstrait dans certains cas. Leurs figures tutélaires peuvent même discréditer à vos yeux, la valeur et l’intérêt de vos proches et connaissance en tant que source de motivation. C’est la raison pour laquelle vous devez également apprendre à rechercher l’inspiration dans votre entourage pour apporter des solutions originales à vos défis particuliers.

Il y a des limites à ce que l’on peut accomplir seul. Tous les entrepreneurs à succès vous le diront ; l’un des paramètres indispensables au développement d’une entreprise, c’est sa capacité à recruter et surtout retenir des talents.

Les facteurs clés de gestion

Plusieurs facteurs, dont l’importance change au fur et à mesure que l’entreprise grandit et se développe, sont déterminants pour le succès ou l’échec final. La….. ne compte que pour très peu dans le succès ; surtout lorsqu’il est question de succès durable. Il s’agit plus d’une question d’organisation qui dépend de votre capacité à créer le bon écosystème pour réaliser vos rêves.

Voici huit des plus importants de ces facteurs dont quatre concernent l’entreprise et quatre le chef.

Les quatre qui concernent l’entreprise sont les suivants :

  1. Les ressources financières (les liquidités et le pouvoir d’emprunt).
  2. Les ressources humaines, à savoir le nombre et la qualité des personnes, en particulier au niveau de la direction et du personnel.
  3. Les ressources en systèmes, en termes de degré de sophistication des systèmes d’informations, de planification et de contrôle.
  4. Les ressources commerciales, notamment les relations avec la clientèle, la part de marché, les relations avec les fournisseurs, les processus de fabrication et de distribution, la technologie et la réputation, qui confèrent à l’entreprise une certaine position dans son secteur et sur son marché.

Les quatre facteurs qui se rapportent au chef d’entreprise sont les suivants :

  1. Les objectifs du propriétaire pour lui-même et pour l’entreprise.
  2. Les capacités opérationnelles du propriétaire à effectuer des tâches importantes telles que le marketing, l’invention, la production et la gestion de la distribution.
  3. La capacité de gestion du propriétaire et sa volonté de déléguer des responsabilités et de gérer les activités des autres.
  4. Les capacités stratégiques du propriétaire à voir au-delà du présent et à faire correspondre les forces et les faiblesses de l’entreprise à ses objectifs.

Au fur et à mesure qu’une entreprise passe d’une étape à l’autre, l’importance des facteurs change suivant trois niveaux d’importance.
Premièrement, les variables clés qui sont absolument essentielles au succès et doivent recevoir une priorité élevée. Ensuite, les facteurs qui sont clairement nécessaires au succès de l’entreprise et doivent recevoir une certaine attention au moment opportun. Et enfin, les facteurs qui ne sont pas d’une importance immédiate pour la direction générale.

Combien de temps faut-il pour développer son entreprise ?

Bien que chaque entreprise soit différente, la plupart d’entre elles peuvent espérer commencer à connaître le succès au bout de sept à dix ans. En fait, les trois premières années consistent simplement à trouver votre orientation et à établir votre entreprise comme une véritable société.

Prenez les exemples suivants de certaines des entreprises les plus célèbres d’aujourd’hui. Elles ont toutes mis plusieurs années avant de connaître le succès :

  • Google – En 1996, Larry Page et Sergey Brin ont commencé à développer leur moteur de recherche. En 1999, ils n’ont pas réussi à vendre l’entreprise pour un million de dollars seulement. Cependant, au début des années 2000, Google est devenu le moteur de recherche dominant.
  • Microsoft – Après la création de Microsoft par Bill Gates, il a fallu six ans à la société pour décrocher son premier gros contrat, avec IBM.
  • ClassPass – Après avoir passé seulement 14 jours à trouver une idée d’entreprise en 2011, Payal Kadakia a créé ClassPass. En 2016, l’entreprise avait pris plus de 17 millions de réservations. À la fin de 2017, le total des réservations atteignait 45 millions.
  • Apple – Il a fallu à Apple encore plus de temps que ces entreprises pour trouver le succès. Steve Jobs a fondé l’entreprise en 1976, mais il n’a pas sorti le Macintosh avant 1984. Alors que cet ordinateur était populaire, Apple n’est devenu un concurrent sérieux dans le monde de la technologie qu’en 1998 avec l’iMac.

Comme vous pouvez le constater, il n’y a pas de calendrier strict pour le succès. Cependant, la plupart des entreprises peuvent s’attendre à quelque chose comme ce qui suit :

Première année

Votre première année d’activité sera la plus difficile. Vous devrez consacrer de nombreuses heures de travail pour éviter l’échec. La bonne nouvelle est que vous atteindrez également de nombreux objectifs au cours de cette période. Les petits succès peuvent inclure l’incorporation, le lancement de votre site Web, la vente de vos premiers produits et l’acquisition de clients en dehors de vos contacts initiaux. Tout cela vous donnera la certitude que vous vous rapprochez de vos objectifs.

Deuxième année

Au cours de la deuxième année, il y aura probablement moins de choses à célébrer. Il est important de se rappeler que vous avez bien fait de vous rendre jusqu’ici. Le succès à ce stade peut impliquer le maintien d’un flux de trésorerie positif. Il est probable que vous devrez augmenter vos investissements, ce qui risque de vider vos économies et de vous endetter.

Si vous voulez survivre au-delà de votre deuxième année, vous devrez développer votre clientèle. La plupart des personnes à qui vous avez vendu vos produits au départ auront disparu depuis longtemps. Vous devrez vous concentrer sur le développement de ceux qui restent pour conserver vos clients fidèles. Vous devriez également constater un afflux de prospects par le biais de votre site Web, des médias sociaux et d’autres canaux. Votre succès dépendra de l’efficacité de leur conversion.

Troisième année

Au cours de votre troisième année, les choses seront encore plus difficiles, car vous êtes encore à plusieurs années du succès. Même les petites étapes seront rares et espacées. Rappelez-vous qu’il est peu probable que vous connaissiez un véritable succès avant votre septième année d’activité, au plus tôt. Il est temps de vous engager à travailler, même si vous reconnaissez que vous avez l’impression de ne pas progresser.

Ne vous inquiétez pas – il y a encore des points positifs dans la troisième année. C’est à ce moment-là que vous passerez du statut de startup à celui de petite entreprise. Cela peut signifier que vous embaucherez plus d’employés, que vous développerez de nouveaux produits ou services, ou même que vous vous développerez sur un nouveau marché.

De la quatrième à la sixième année

La dernière ligne droite avant le succès se situe généralement entre la quatrième et la sixième année. Ce n’est qu’à ce moment-là que vous commencerez à avoir l’impression de savoir ce que vous faites. Vous aurez un flux régulier de nouveaux clients, votre marque sera bien définie et vous lancerez ou mettrez à jour régulièrement vos produits et services.

De la septième à la dixième année

Vous avez réussi ! La plupart des entreprises classiques connaissent le succès entre la septième et la dixième année.

Combien de temps faut-il réellement pour qu’une entreprise soit prospère ?

Créer une entreprise demande beaucoup de travail. Il faudra rédiger un business plan, trouver éventuellement des investisseurs, créer un site web et des comptes sur les réseaux sociaux, développer vos premiers produits et services, et bien plus encore. Une fois que vous avez fait tout cela vient la partie la plus difficile. Votre entreprise ne va pas, comme par magie, trouver des clients et se développer. Il vous faudra continuer à travailler de longues heures, à élaborer des stratégies et à investir. Alors, combien de temps faut-il pour qu’une entreprise soit prospère ?

Qu’est-ce qui fait le succès d’une entreprise ?

Tout d’abord, vous devez savoir ce qui fait le succès d’une entreprise. Sinon, comment saurez-vous que vous avez réussi ? Quelques facteurs indiquent le succès :

La qualité de l’offre

Lorsque les offres sont de haute qualité et désirables, les clients reviennent pour en acheter davantage. Vous aurez peu de retours sur ventes et de plaintes, mais beaucoup de recommandations de bouche à oreille et de bonnes critiques.

Connaissance de la marque

Les gens doivent pouvoir se familiariser avec votre marque. Au-delà de la reconnaissance de votre nom, vous devez incarner des valeurs précises pour que le public puisse facilement se représenter la personnalité de votre marque.

L’avatar client

Vos nouveautés répondront aux besoins de vos clients et votre marketing trouvera un écho auprès de votre public. Dans cette perspective, il est particulièrement important d’apprendre comment définir une stratégie marketing efficace pour lancer son business.

Action caritative

Dans le cadre d’une bonne stratégie de responsabilité sociale, il est important de redonner à votre communauté. Que ce soit par des dons et des parrainages ou d’autres événements. Disposer de suffisamment de temps et de fonds pour contribuer à des causes sociales est un excellent indicateur de réussite qui renforce par la même occasion l’engagement de votre public cible (3).

Conclusion

Bien que la création d’une entreprise puisse sembler attrayante – pas de patron, la possibilité de poursuivre une passion, de concrétiser ses idées – elle ne convient pas à tout le monde. Chaque étape du chemin qui mène au succès comporte son lot de défis. Vous devez vous demander si c’est vraiment ce que vous voulez.

Vous pouvez découvrir que le travail est trop difficile, décider que vous ne voulez pas continuer à investir vos propres économies dans votre entreprise, ou réaliser que votre idée est moins attrayante pour votre public cible que vous ne l’imaginiez. C’est normal d’abandonner. Cependant, si vous avez un plan d’affaires viable, que vous engagez une équipe formidable et que vous continuez à faire des efforts, vous devez simplement vous rappeler qu’à tout moment, vous n’êtes qu’à quelques années du succès.

Pour aller plus loin, découvrez ici comment créer une offre irrésistible pour réussir vos lancements de produit.

Sources :

  1. Kellett, J. B., Humphrey, R. H., & Sleeth, R. G. (2006). Empathy and the emergence of task and relations leaders.
  2. Holt, S., & Marques, J. (2012). Empathy in leadership: Appropriate or misplaced? An empirical study on a topic that is asking for attention. Journal of business ethics, 105(1), 95-105.
  3. Rioux, B. (2017). Consumers’ perception of corporate social responsability: the example of eco-design (Doctoral dissertation).

Source image : freepik.com

Les bons d’achat, le cadeau parfait pour motiver ses salariés

Le chèque cadeau, c’est un avantage en nature équivalent à de l’argent, sous forme d’un bon d’achat. Celui-ci est un moyen de paiement qui peut être utilisé chez un réseau de commerçants contre des produits ou des services. Les chèques cadeaux peuvent être multi-enseignes, mono-enseigne ou thématique (ameublement, culture, parfumerie, etc.).

Le chèque cadeau constitue l’un des avantages offerts aux salariés par l’employeur  ou le Comité Social et Economique (CSE), car il permet de nombreuses possibilités pour le dépenser.

Le chèque cadeau se trouve en format papier ou sous forme d’une carte de paiement électronique.

cadeau idéal pour vos salariés : le bon d'achat

A respecter pour profiter pleinement d’un chèque cadeau

Toute somme ou avantage en nature versé à un salarié est soumise à une cotisation sauf si son exonération est expressément prévue. Le chèque cadeau permet à l’entreprise de bénéficier d’une exonération de charges sociales sous certaines conditions.

C’est le cas si le montant des chèques cadeaux offerts aux salariés ne dépasse pas 171,40 euros en 2021 par personne sur une année civile (équivalent à 5 % du Plafond Mensuel de la Sécurité Sociale). Si ce seuil est dépassé, l’entreprise doit remplir 3 conditions pour être exonérée des cotisations de sécurité sociale :

  1. Le chèque cadeau doit être offert dans le cadre d’un événement précis.
  2. L’utilisation du chèque cadeau doit être en lien avec l’événement.
  3. Le montant du chèque cadeau doit rester sous les 5 % du Plafond Mensuel de la Sécurité Sociale, mais aussi ne doit pas être disproportionné par rapport à l’événement pour lequel il est offert.

Pour être exonéré des cotisations de sécurité sociale, ces conditions doivent être simultanément remplies. Si ce n’est pas le cas, le bon d’achat est soumis pour son montant global, dès le 1er euro.

Dans le cas où un salarié perçoit pour le même événement un ou plusieurs bons d’achat et un cadeau en nature, les montants doivent être cumulés pour respecter le seuil fixé.

A quelle occasion offrir un chèque cadeau

La liste des événements est limitative :

  • le mariage
  • le pacs
  • les naissances
  • le départ à la retraite
  • la fête des mères
  • la fête des pères
  • la fête de Sainte-Catherine
  • la fête de Saint-Nicolas
  • le Noël des salariés et des enfants (enfants jusqu’à 16 ans révolus dans l’année civile)
  • la rentrée scolaire pour les salariés ayant des enfants (enfants jusqu’à 25 ans révolus dans l’année civile).

Les salariés bénéficiaires doivent être concernés par l’événement. Par exemple, un salarié sans enfant n’est pas concerné par les bons d’achat pour la rentrée scolaire, pour la fête des pères/mères ou pour le noël des enfants. L’objet du bon d’achat doit être en relation avec l’événement.

En 2020 et 2021, le législateur a souhaité faire des bons d’achat de Noël un levier supplémentaire pour le pouvoir d’achat des salariés en augmentant le seuil de 5% du Plafond Mensuel de la Sécurité Sociale. En effet, en 2020 une tolérance a permis de verser jusque 10% du Plafond Mensuel de la Sécurité Sociale soit 340 environ et en 2021 le plafond a été revu à 250 euros au lieu de 171,40 euros.

Il est rappelé que lors d’un contrôle Urssaf, le comité est tenu de mettre à disposition de l’entreprise les justificatifs et documents comptables nécessaires à celui-ci ainsi que les feuilles d’émargement des salariés (bons d’achat, chèques-vacances…).

Antoine Devresse, ancien inspecteur du recouvrement à l’Urssaf, vous aide à anticiper les éventuels risques de redressements lors d’une formation opérationnelle. En lien direct avec vos problématiques, vous pourrez ainsi modifier vos pratiques avant votre contrôle Urssaf.

Création d’une SAS : 9 conseils pour réussir

La société par actions simplifiée ou SAS est un statut juridique qui offre de nombreux avantages aux entrepreneurs. On peut citer par exemple la liberté statuaire attribuée aux associés et qui leur permet d’organiser le fonctionnement de l’entreprise comme bon leur semble. Toutefois, il faut dire que de nombreux aléas accompagnent le démarrage d’un projet. En d’autres termes, il existe de nombreux éléments à considérer afin de pouvoir réussir la création de votre société. Si vous êtes un porteur de projet, alors vous trouverez dans ce guide 9 conseils qui vous seront très utiles.

Rédiger les statuts d’une SAS

Notez que pour réussir le lancement de sa SAS, il ne faut pas négliger l’étape importante de la rédaction des statuts. Le fonctionnement de votre société peut être sérieusement impacté si ces derniers ont été mal définis. Par conséquent, vous serez obligé de les modifier et de supporter des dépenses supplémentaires.

Les statuts peuvent prendre la forme d’un acte notarié ou d’un acte sous seing privé. Afin qu’ils soient valides, ils doivent comporter des mentions obligatoires. Celles-ci seront par la suite complétées par d’autres clauses, selon les besoins de votre société.

rédaction des statuts création SAS

Parmi les mentions obligatoires, on retrouve :

  • la dénomination sociale,
  • la forme juridique,
  • l’adresse du siège social,
  • la durée de vie de l’entreprise,
  • l’objet social,
  • le montant du capital social,
  • la forme des actions,
  • l’identité des associés fondateurs,
  • l’identité des commissaires au compte,

Il existe également des clauses complémentaires en fonction de la situation particulière de votre entreprise. Ce sont notamment les clauses d’exclusion, d’inaliénabilité, d’agrément, de préemption, de sortie conjointe, de sortie forcée…

Création d’une SAS : constituer et déposer le capital dans un compte en banque

Il est important que les associés de la SAS fassent un apport de capital social pour démarrer une entreprise. C’est en effet grâce à cela qu’ils pourront obtenir des titres sociaux. Vu que le code de commerce n’exige aucun montant minimum, il est possible de créer une SAS avec un capital social d’un euro. Pour précision, on distingue trois types d’apports : en numéraire, en nature et en industrie.

Les apports en numéraire désignent les sommes d’argent injectées dans le capital de la société. Celles-ci doivent être déposées sur un compte bancaire au nom de la future entreprise. Un certificat de dépôt des fonds vous sera alors remis et fera partie des pièces à fournir lors du dépôt de votre dossier d’immatriculation.

Ensuite, nous avons les apports en nature qui représentent les biens meubles ou immeubles, matériels ou immatériels. L’apport est d’ailleurs assimilé à un transfert de propriété de patrimoine de l’associé vers la SAS. Il est tout de même indispensable de faire une évaluation des apports en nature de chaque actionnaire pour avoir une idée de sa valeur dans le capital social.

Quant aux apports en industrie, ce sont les contributions en connaissances, en savoir-faire, en talent, en capacités techniques, etc. Ils ne sont toutefois pas pris en compte dans la constitution du capital étant donné qu’ils sont difficilement quantifiables.

Bien choisir les dirigeants de la SAS

Les associés de la SAS sont libres de définir les différents organes de direction de l’entreprise. Cependant, il faut obligatoirement choisir un président de SAS. Il est conseillé de faire un choix réfléchi pour assurer le bon déroulement de votre entreprise.

Pour précision, le comité de direction ou le conseil d’administration peut endosser alternativement cette fonction. Il est également possible de désigner un dirigeant unique. Dans tous les cas, notez que le président de la SAS devra être choisi dans le plus grand respect des conditions établies dans les statuts.

Créer une SAS : rédiger la liste des actes accomplis

On dit qu’une entreprise en est formation quand elle n’a pas encore d’immatriculation au RCS, et qu’elle existe partiellement. Cette existence lui est conférée par la rédaction des statuts, les pourparlers, etc. Afin de rendre valides les actes précédant l’immatriculation de la société, il convient de rédiger la liste des actes accomplis.

C’est une formalité qui permet en quelque sorte d’assurer la sécurité des rapports avec les cautions, les cocontractants et les garants de la SAS.

Création d’une SAS : la publication dans un journal d’annonces légales

Un mois après la signature des statuts, il est obligatoire pour les associés de la SAS de publier un avis de création. Pour ce faire, ils devront se tourner vers un journal d’annonces légales du département d’immatriculation de l’entreprise. Ceci est une manière d’informer les tiers de la constitution de la SAS et de fournir des renseignements concernant son fonctionnement. L’annonce légale devra comprendre certaines mentions obligatoires :

  • dénomination sociale et statut de la société,
  • montant du capital social,
  • adresse du siège social,
  • l’objet social,
  • la durée de vie de l’entreprise,
  • le nom et l’adresse du président de la SAS,
  • les conditions d’admission aux assemblées générales,
  • les modalités relatives aux cessions des actions de la SAS,

Après la publication de l’annonce légale, vous recevrez une attestation de parution. Ce document devra être inclus dans le dossier de demande d’immatriculation au registre du commerce et des sociétés.

créer une société SAS

Constitution et dépôt du dossier d’immatriculation de la SAS

Pour réussir la création d’une SAS, vous devez aussi constituer et déposer votre dossier d’immatriculation. Celui-ci devra comprendre certaines pièces justificatives :

  • 3 exemplaires du formulaire M0 de déclaration d’une personne morale,
  • une copie originale des statuts,
  • un justificatif de domiciliation de SAS (contrat de bail, attestation de domiciliation, facture d’eau…),
  • une déclaration des bénéficiaires effectifs,
  • une autorisation d’exercice fournie par les autorités compétentes,
  • une copie du certificat de dépôt des fonds,
  • des pièces relatives aux dirigeants de la SAS (pièce d’identité, attestation de filiation, etc.),

Lorsque l’intervention du commissaire aux comptes est obligatoire, il faudra ajouter d’autres éléments au dossier. Il s’agit notamment de la copie de la lettre d’acceptation de sa désignation et du justificatif de l’inscription du commissaire dans la liste officielle des commissaires au compte.

Après cela, vous devez communiquer le dossier au niveau du centre de formalités des entreprises compétent. Celui-ci fera une vérification de conformité avant de le transmettre au greffe du tribunal de commerce. Le CFE varie en fonction de l’activité exercée par votre entreprise.

Pour les activités commerciales ou industrielles, tournez-vous vers la chambre du commerce et de l’industrie. Pour les activités artisanales, le centre compétent est la chambre des métiers et de l’artisanat. Enfin, les professions libérales doivent s’adresser à l’Urssaf. Après validation de votre dossier, vous recevrez un SIRET, un extrait Kbis, un numéro de TVA intracommunautaire et un numéro d’inscription au répertoire.

Entourez-vous des bonnes personnes pour créer votre société SAS

Un entrepreneur qui veut réussir doit savoir s’entourer de professionnels qui pourront l’accompagner dans son projet. Il faut dire que très peu d’entrepreneurs ont tout le savoir-faire nécessaire à la création et à la gestion d’entreprise. Le fait d’avoir une parfaite maîtrise de l’exercice de votre métier est déjà une bonne chose.

Par la suite, n’oublions pas que la gestion d’une entreprise nécessite des compétences diverses : fiscalité, ressources humaines, management, droits des affaires, gestion financière, communication et vente… En dehors de cela, il vous faudra le soutien d’une ou de plusieurs personnes afin d’avoir une oreille attentive.

Il est alors conseillé de s’entourer de personnes compétentes qui pourront vous accompagner dans votre projet. Pour vous faciliter la tâche, n’hésitez pas à élaborer un bilan de compétences entrepreneuriales.

Évitez de négliger vos capacités financières

Lorsqu’on se lance dans le monde de l’entrepreneuriat, il est nécessaire de prendre en compte vos capacités financières. Avoir une idée de projet est une chose, mais disposer des moyens nécessaires pour le concrétiser en est une autre. En d’autres termes, en plus des compétences nécessaires, les moyens financiers sont aussi indispensables.

Nombreux sont les projets qui ne voient pas le jour à cause d’un manque de financement. Pire encore, d’autres projets atterrissent sur un dépôt de bilan du fait de leur fragilité sur le plan financier. C’est la raison pour laquelle vous ne devez aucunement négliger ce point lors de la création de SAS. Lancez-vous dans un projet qui est en parfaite adéquation avec vos moyens financiers. De même, conservez une marge de manœuvre ainsi que des économies en guise de secours.

moyens financiers création SAS

Prendre en compte le coût de la création d’une SAS

Le coût de création de la SAS est susceptible de varier en fonction des caractéristiques de la société. En effet, lorsqu’il y a un apport de bien immobilier au capital social, alors il faut que les statuts soient rédigés par acte authentique. Ceci entraîne une augmentation des frais de création. Voici un aperçu des frais que vous aurez à supporter :

  • rédaction des statuts : de 0 à 2500 euros si vous faites appel à un notaire,
  • rémunération du commissaire aux apports : de 500 à 3 000 euros,
  • la publication de l’annonce légale : entre 200 et 500 euros,
  • les frais d’immatriculation : entre 39 et 228 euros (au RCS) et à partir de 132 euros au RM,
  • autres frais (RBE, BODACC) : jusqu’à 50 euros.

Afin de réussir la création de votre SAS, faites preuve de vigilance et persévérez. Gardez ce conseil en tête, même lorsque tout se porte bien et que votre activité a acquis une certaine notoriété auprès de la clientèle. N’oubliez pas que durant les premiers mois, l’entreprise est encore jeune. La moindre erreur stratégique pourrait entraîner sa faillite.

Comment devenir travailleur indépendant ?

Le travail indépendant est une forme de travail qui se caractérise par l’absence de subordination à un employeur. Il n’est pas toujours facile de faire la distinction entre les deux formes et il peut arriver que certains types d’activités des employés soient passés pour autonomes alors que ce n’est pas le cas. La raison en est simple : l’emploi oblige l’employeur à fournir toute une série de protections, y compris économiques. Devenir travailleur indépendant vous donne une certaine autonomie et une tranquillité d’esprit. Pour y arriver, il est important que vous maîtrisiez les rouages du métier de travailleur indépendant.

Le portage salarial, une solution pratique et rentable

Les travailleurs qui décident de devenir indépendants se lancent de plus en plus vers le portage salarial pour ne pas subir les contraintes liées au statut d’indépendant. Le portage salarial peut être considéré comme un emploi hybride qui concilie les avantages du travail indépendant avec ceux du travail de salarié. Ce statut vous donne la possibilité de développer votre activité indépendante, mais en conservant les avantages en termes de sécurité sociale dont un salarié bénéficie.

Si vous désirez savoir comment ce statut fonctionne et la rémunération que vous pouvez avoir selon l’activité que vous menez, vous pouvez utiliser un certain nombre d’outils. En effet, vous avez la possibilité de faire une simulation de portage salarial pour avoir une estimation fiable de votre possible rémunération. Il est donc possible de calculer votre revenu ou le taux journalier moyen.

Grâce au portage salarial, vous n’aurez pas besoin de créer une entreprise ou alors de vous enregistrer comme un travailleur indépendant. En effet, vous bénéficiez de la protection sociale au même titre qu’un salarié et pouvez rapidement trouver des missions. Vous bénéficiez également d’un accompagnement pour vous aider à valoriser votre image. Le portage salarial vous aide à gérer de façon autonome vos clients et d’arranger votre emploi du temps afin qu’il soit en phase avec votre vie personnelle.

Malgré ses nombreux atouts, le portage salarial a aussi des points négatifs qu’il importe de soulever. En effet, il existe des frais de gestion d’environ 10 % de votre chiffre d’affaires et les cotisations sociales plus élevées. La société de portage dispose enfin d’un regard sur vos missions et certains secteurs d’activité ne peuvent pas bénéficier du portage salarial.

portage salarial travailleur indépendant

La micro-entreprise, le statut d’indépendant par excellence

La micro-entreprise est un statut particulier qui réunit le régime fiscal au régime social. Il vous donne la possibilité de profiter de la simplification des formalités de création d’activité. Avec ce statut, les obligations de paiement et de déclarations sont également simplifiées. Comme micro-entrepreneur, vous profitez d’un abattement sur votre chiffre d’affaires selon certaines circonstances. Si vous menez une activité de fourniture de logement, d’achat-revente ou de vente à emporter, l’abattement est de 71 %. Si vous faites dans la prestation de service commerciale, l’abattement est à hauteur de 50 %. Si vous menez des activités de type libéral, le taux d’abattement est de 34 %.

Pour obtenir le statut de micro-entreprise, il faut que le chiffre d’affaires de votre entreprise soit de 176 200 € si vous menez une activité de vente de marchandises et de 72 600 € si vous faites dans les professions libérales.

Le statut de micro-entreprise est ouvert à tous et les démarches administratives de création sont plus simplifiées. L’un des avantages de la micro-entreprise est que vous n’avez pas à payer de cotisation sociale si aucune recette n’est enregistrée. Les cotisations sociales sont aussi fonction de votre chiffre d’affaires et vous bénéficiez de la réduction de la comptabilité d’entreprise. D’un autre côté, la micro-entreprise présente quelques inconvénients. En effet, votre chiffre d’affaires est plafonné et il existe une certaine limitation dans la couverture sociale.

La SAS, une solution très flexible pour le travailleur

Le statut de SAS (Société par Actions Simplifiée) est très apprécié pour sa flexibilité. Il s’agit d’une entreprise qui se constitue de plusieurs associés qui peuvent être des personnes physiques ou morales. Les différents associés sont libres de rédiger les statuts de leur entreprise comme bon leur semble et ils pourront décider en toute liberté du mode de fonctionnement de la SAS. Dans la constitution d’une SAS, il faut un président, des associés, un objet social, un capital constitué. Ce statut d’entreprise est soumis à l’impôt sur les sociétés. Il est cependant possible pour les associés d’opter pour une imposition sur les revenus dans la seule condition que la SAS ait moins de 5 ans d’existence.

Le statut de SAS vous permet une grande souplesse dans le fonctionnement et le régime social est intéressant. Vous disposez aussi d’une grande liberté pour rédiger les statuts et l’association avec les autres entrepreneurs est plus facile. Pour les rédiger, il faut toutefois avoir de bonnes compétences techniques et juridiques et les associés n’ont pas la possibilité de s’affilier au régime de travailleurs indépendants.

travailleur indépendant SAS

La SASU, une solution offrant plus de souplesse

Une entreprise créée obtient le statut de SASU (Société par Actions Simplifiée Unipersonnelle) pour mener une activité professionnelle. Il s’agit d’une SAS dont une seule personne physique ou morale est l’actionnaire. C’est l’associé unique qui prend les différentes décisions au sein de l’entreprise. La SASU paye les impôts sur les sociétés avec un taux de 28 % si le chiffre d’affaires est moins de 50 000 € ou de 33,3 % si le chiffre d’affaires dépasse les 50 000 €. Avec le statut de SASU, il est possible d’être imposable sur le revenu, à condition que l’activité menée par l’entreprise soit industrielle, agricole, commerciale ou libérale.

La SASU dispose d’une organisation plus souple et son mode de fonctionnement est flexible. Vous avez également la possibilité d’investir plus librement et le passage en SAS est plus aisé. D’un autre côté, vous devez savoir que la procédure de création de la SASU est coûteuse et contraignante et les charges sociales sont plus élevées. La présence d’un commissaire aux comptes est aussi obligatoire.

L’EURL, une solution simple pour un travailleur indépendant

L’Entreprise Unipersonnelle à Responsabilité Limitée (EURL) est une sorte de SARL, mais avec un associé unique. L’objectif de ce statut est d’offrir la possibilité aux entrepreneurs d’obtenir les mêmes avantages d’une SARL, mais sans qu’ils ne soient obligés de s’associer avec d’autres entrepreneurs. De la sorte, la protection du patrimoine personnel de l’entrepreneur est assurée. S’agissant de la fiscalité, une EURL est soumise au paiement de l’impôt sur le revenu. Il est possible, dans certains cas, de choisir l’impôt sur les sociétés pendant 5 ans à partir de la date de création de l’EURL.

La constitution facile, la gestion simplifiée et la possibilité de bénéficier du statut de micro-entreprise sont quelques-uns des avantages de ce statut. Il faut également noter certains inconvénients comme une absence de flexibilité, un coût de création élevé et des cotisations sociales obligatoires.

Si vous voulez vous lancer dans le travail indépendant, vous devez connaître les différents statuts liés à ce type d’activité. Vous pouvez passer par le portage salarial qui est une solution très pratique puisqu’il est possible d’effectuer une simulation de ses revenus. Chaque statut a toutefois son mode de fonctionnement, ses avantages et ses inconvénients. C’est à vous de savoir lequel correspond à vos objectifs en tant que travailleur indépendant.

Entrepreneur, avez-vous pensé à investir dans l’immobilier ?

Très plébiscité, l’entrepreneuriat est l’une des activités les plus en vogue du moment. Non seulement il permet d’exprimer son potentiel, mais en plus l’entrepreneur a une plus grande liberté d’action. Aussi, lorsqu’elle est bien gérée, une activité libérale génère des revenus assez conséquents. Toutefois, ce mode de fonctionnement présente aussi des risques non négligeables. C’est pourquoi il convient d’investir dans une activité plus stable telle que l’immobilier. Que savoir de ce type d’investissement ?

Pourquoi investir dans l’immobilier ?

Bien entendu, il existe une multitude de possibilités pour faire fortune. Cependant, le secteur immobilier est sans doute l’un des plus rentables du moment. En effet, il offre de nombreux avantages qu’il serait intéressant de considérer. Déjà, il faut savoir que l’immobilier est l’un des seuls secteurs à rendre effectif le fameux effet levier. Concrètement, il s’agit d’acquérir grâce à certains mécanismes, vos immeubles avec peu ou pas d’investissement financier de votre part. De plus, il faut noter que l’immobilier fait partie des secteurs les plus stables.

Se loger étant l’un des besoins fondamentaux ressentis par tous, il est nécessaire d’avoir un toit au-dessus de sa tête. Par ailleurs, face à la demande sans cesse croissante, les acteurs immobiliers ont dû moderniser leurs techniques de travail.

Certaines d’entre elles sont notamment décrites ici. Si vous cherchez une raison supplémentaire d’investir dans l’immobilier, sachez que cela peut vous servir de filet de secours. Ainsi, en cas d’échec de votre projet d’entreprise, vous aurez toujours une source de revenus annexe.

L’immobilier, un secteur en plein essor avec le Groupe Duval en Afrique

Véritable pilier économique, l’immobilier a de tout temps fait partie des activités les plus prisées. Vous constaterez notamment que beaucoup de grosses fortunes comme le groupe Duval ont justement d’importants portefeuilles immobiliers, surtout en Afrique. D’autre part, les revenus tirés de l’exploitation immobilière constituent un gage de pérennité pour ce secteur.

Il faut savoir que vous pouvez tirer profit de ce business de différentes façons très intéressantes. Par exemple, en mettant votre bien en location, vous obtiendrez des rentes mensuelles. En outre, l’option du flip immobilier peut également être explorée. Il s’agira en l’occurrence d’acheter un immeuble puis de le revendre ensuite avec des profits. Générant très vite des revenus, cette pratique est également en plein développement.

Les différents types d’investissement immobilier

Si vous désirez vous lancer dans l’activité immobilière, il importe de connaître les options qui s’offrent à vous. Ainsi, vous serez en mesure de choisir celle qui vous convient le mieux.

L’investissement locatif

C’est la forme d’investissement la plus courante. Il s’agira pour vous de mettre votre bien en location. Ce faisant, vous obtiendrez mensuellement un revenu net en complément de votre activité entrepreneuriale. En outre, plus votre immeuble est bien situé, plus le montant du loyer pourra être élevé. De même, le standing de votre appartement sera un élément important dans le montant de la rente.

Investir à travers sa résidence

Une autre façon de se faire de l’argent dans l’immobilier consiste à mettre en valeur sa résidence secondaire. Si vous disposez d’un appartement ou d’une maison que vous n’utilisez pas fréquemment, vous pouvez en tirer profit. Selon vos espérances, votre maison peut-être louée périodiquement ou toute l’année. Par ailleurs, cette option est également possible même avec votre appartement. Durant vos vacances, vous pouvez mettre votre local en location et en tirer un bénéfice lucratif. Toutefois, cette solution n’est pas vraiment adaptée au long terme.

Le crowfunding immobilier

Très intéressante, cette option est également accessible. En réalité, il s’agit surtout d’un investissement participatif. Vous devez en l’occurrence financer des promoteurs pour l’acquisition d’un bien immeuble. Il faut dire que le retour sur investissement est assez rapide dans ce genre de cas. Cela peut aller de 12 à 30 mois en fonction du projet immobilier. Par ailleurs, les bénéfices peuvent atteindre 10 % net avant impôts. En revanche, il est important de bien vous renseigner sur vos associés avant d’y mettre votre argent. Le mieux serait de constituer votre propre groupe de promoteurs.

L’option des SCPI

Ce système se rapproche quelque peu de celui du crowfunding. Une société civile de placement immobilier est un regroupement de personnes désireuses d’investir dans un projet immobilier. Généralement, les participants à ce genre d’initiative sont aussi bien des personnes physiques que morales. Cette option vous permet notamment de détenir des parts dans cette micro entreprise. Par ailleurs, ce mode d’investissement présente un avantage non négligeable. En optant pour la SCPI, vous pouvez engager un faible capital. En revanche, vous ne pourrez pas toujours décider du projet qui sera mis en place.

Solution très astucieuse, l’investissement immobilier est une activité très bénéfique. Bien gérée, elle pourrait même devenir votre principale source de revenus.

Succes Marketing